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La Ville d’Ypres lance une campagne suite aux résultats du Corona Impact Monitor

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Bpact donne à chacun l’occasion de s’exprimer, afin de créer ensemble un impact ! La nouvelle campagne à Ypres, basée sur les résultats de notre Corona Impact Monitor, en est un bon exemple. Cette étude a révélé que de nombreux jeunes hésitent encore à se faire vacciner. C’est pourquoi la ville d’Ypres lance une campagne intitulée « 2 prikken, 1.000 party’s » (2 piqûres, 1.000 fêtes) afin d’augmenter la disposition de ce groupe cible à se faire vacciner.

Beaucoup de doutes chez les jeunes

La Ville d’Ypres est l’une des communes ayant participé à notre deuxième Corona Impact Monitor. Dans cette étude, nous avons cherché à savoir comment les Flamands se sentent après la pandémie de coronavirus, quel est le rôle de l’administration locale et quelle est l’attitude à l’égard de la vaccination.

L’étude a montré que 16 % des Yprois âgés de 18 à 34 ans hésitent à se faire vacciner. Il s’agit d’un groupe cible important qu’il est encore possible de convaincre. Les moins de 24 ans recevront en effet une invitation à se faire vacciner dans les semaines à venir.

Fournir des informations fiables

La Ville d’Ypres et le service Jeunesse ont donc lancé la campagne « 2 prikken, 1.000 party’s ». L’objectif est d’une part d’être à l’écoute des jeunes et de leurs préoccupations, et d’autre part de leur fournir des sources fiables.

Lors d’un Facebook Live, 3 experts (Stijn Jonckheere, biologiste clinicien, Laurens Strobbe, médecin généraliste, et Leen Roskam, responsable du centre de vaccination) ont répondu aux questions des jeunes. Ils pouvaient les envoyer à l’avance via le site web. Par la suite, ils répondront aussi aux questions reçues sur le site web.

Alexandro Yaramis, visage de la campagne

Afin d’être proche des jeunes, la Ville d’Ypres a choisi un visage jeune pour la campagne. Alexandro Yaramis est un journaliste yprois de 23 ans, connu via l’émission télévisée Vranckx & de Nomaden. Il a modéré la session Facebook Live et a lui-même été hospitalisé à cause du coronavirus il y a 3 semaines.

Prik to party

Un tatouage autocollant est également lancé en même temps que la campagne. Ce tatouage est disponible au service Jeunesse ou au JOC-café. « Les jeunes peuvent l’utiliser pour montrer qu’ils veulent se faire vacciner », déclare l’échevin de la Jeunesse Dimitry Soenen (N-VA). « C’est une façon de faire savoir à leurs camarades qu’ils sont favorables à la vaccination et d’en discuter entre eux. En respectant le choix de chacun. »

Cette publication a un commentaire

  1. Ethel Olivier

    C’est bien la différence entre le récit et la réalité… Le vaccin est devenu une religion, les états font du prosélytisme bas de gamme, comme les témoins de Jéhovah. Plus personne n’use de son esprit critique, c’est le règne de la paresse intellectuelle et du politiquement correct🤬

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